À LA CHAUX DE NOS SILENCES

Gaëlle Fonlupt


Éditeur :Editions de Corlevour


Livre

Langue d'origine :français

Format :14,5 x 20,0 cm

Nombre de pages :128

Date de parution :26/01/2023

ISBN :978-2-37209-111-4

Prix :16,00 €

Argumentaire :

Ce premier recueil de poèmes de la romancière Gaëlle Fonlupt est bâti en cinq parties, chacune ayant pour titre un verset du Cantique des Cantiques, qui reste sans doute le poème amoureux le plus universel : « à son ombre, en désir je me suis assise », « Chacun son glaive sur la cuisse, prêts aux affrontements de la nuit », « Où sera ton repos à l’heure de midi ? », « J’ai cherché celui que mon cœur aime », « Place-moi comme un sceau sur ton cœur ». L’ensemble constitue une forme de journal amoureux d’une année chaotique. La poésie de Gaëlle Fonlupt explore chacune des expériences fortes de la rencontre amoureuse. Chaque poème dit tour à tour la découverte, le mystère de l’inconnu aimé, l’attente douloureuse, mais aussi la colère et la crainte de l’abandon. L’apaisement et la plénitude n’en sont pas pour autant absents, entre les moments de trouble et d’incertitude.
Doté d’une solide charpente sonore et rythmique, le lyrisme de Gaëlle Fonlupt renouvelle le domaine de la poésie amoureuse, puisant aussi bien chez Bukowski (cf le poème Bu(c)k) que chez Anna Akhmatova ou Sylvia Plath.
Une nouvelle voix prometteuse, d’autant que les 80 poèmes de ce premier recueil ont été choisis parmi un ensemble de plus de deux cents.

Biographie ou Bibliographie de l'auteur :

Gaëlle Fonlupt est poète, romancière. Elle a successivement exercé dans l’humanitaire, dans le secteur hospitalier et au sein d’une juridiction. Elle a publié dans les revues Lichen, Poetiquetac, etc. Son premier roman Elle voulait vivre dans un tableau de Chagall (éditions d’Avallon, 2020) a été finaliste du prix « Les Talents de demain » 2020 et du prix Lectures Plurielles/ Zonta-Olympe de Gouges. En 2021, elle a été lauréate du Puy Poétique et a fait partie de la sélection du Comité de lecture de la Maison de la Poésie Jean Joubert, lors de la session de printemps 2021 des « Nouvelles Voix d’Ici ».