PERMETTEZ-MOI DE PALPITER
Pauline Picot
Éditeur :Vroum
Livre
Langue d'origine :français
Format :10,5 x 15,0 cm
Nombre de pages :112
Date de parution :30/08/2024
ISBN :978-2-493008-16-9
Prix :15,00 €
Argumentaire :
50 poèmes de Pauline Picot, fragments autobiographiques qui sont aussi des relevés du quotidien de celles et ceux qui l'entourent.
Ces textes sont comme des précipités. En quelques lignes, ils décrivent avec émotion et vivacité ce qui nous bouleverse. Dans ces précipités il y a de la vitesse, une fulgurance, mais aussi de l'intensité. Pauline Picot écrit de manière condensée, la parole est jaillissement.
Ces 50 poèmes sont autonomes mais forment une série qui se complète au fil des pages.
Les textes de Pauline Picot affirment un « je » auquel le lecteur ou la lectrice peut s'identifier. Le livre est conçu dans un petit format, pour être mis contre soi, glissé dans une poche, un sac, objet « à taille humaine » pouvant être facilement transporté. Un jeu graphique avec la silhouette de Pauline Picot, dont le travail d'autrice et de performeuse est étroitement lié au corps, se déploie sur les pages de gauche, en regard du poème, affirmant son mouvement vers le lecteur jusqu'à engloutir la page et de dissoudre dans une forme abstraite.
Biographie ou Bibliographie de l'auteur :
Pauline Picot est autrice, performeuse et docteure en Études Théâtrales. Les éditions Quartett publient ses textes théâtraux depuis 2012. Sa pièce Votre âme sœur est peut-être dans cette forêt (2022) est mise en espace au Théâtre du Rond-Point en février 2023. Je pourrais compter tous mes os est lauréate du festival Texte En Cours à Montpellier en novembre 2023. Quant à sa poésie – sous forme de fragments composés ou d'éructations-fleuves – elle peut se lire aux éditions Les Éclairs (À l'heure qu'il sera, 2017), dans des revues spécialisées (Gustave, Recours au poème, Carabosse et Véhicule) ou sur les réseaux sociaux (la série des Éclats et celle des Poches de Résistances Poétique sur YouTube ; la publication soutenue de textes sur Instagram et Facebook). Depuis 2019, elle crée des séries de performances accompagnées de photographies qui questionnent l'impératif de compétition, la solitude du quotidien, la candeur en face de l'état du monde.