PTÉRODACTYLES/LOGISTICS : THE EXTEND (2NDE ÉDITION AUGMENTÉE)
Etienne Vaunac/Grégory Chatonsky
Éditeur :Epousées par l'écorce
Livre
Langue d'origine :Français
Format :25,0 x 20,0 cm
Nombre de pages :54
Date de parution :02/05/2025
ISBN :9782958552855
Prix :17,00 €
Argumentaire :
L'ouvrage Ptérodactyles/Logistics : The Extend est le fruit de la rencontre entredeux gestes artistiques apparemment très éloignés l’un de l'autre. L'écriture poétique d'Etienne Vaunac se place au milieu de la présence des êtres et des choses animales, florales, minérales, fossiles ou rudérales, pour y développer un lyrisme stélaire célébrant un pays ancien et venu à son terme – terme qui est aussi son sort de mots dans la langue. Les ptérodactyles sont des dactyles, des régimes de versification. Grégory Chatonsky, de son côté, a généré des images dans un secteur de l'espace latent de DALL-E 2 : représentant des corps dont on devine l'humanité dans un désert iridescent et pollué. Monde au bord de l’épuisement où les figures semblent méditer sur d’étranges tapis de yoga, comme à la poursuite d'un rêve ou d'une hallucination collective. Du texte aux images, le souci des métamorphoses relie explosivement, fixement, l'artiste et le poète.
Biographie ou Bibliographie de l'auteur :
Étienne Vaunac est né en 1973 à Saint-Étienne. Il partage son temps entre la France et l’Italie, la poésie et la philosophie de l’image. Il a publié récemment Le Monde naturel aux éditions du Lierre embrassant la muraille (2021) et collabore notamment aux revues de poésie Po&sie et Place de La Sorbonne. Il pratique une écriture vernaculaire attachée aux présences sensibles et à une certaine simplicité de la forme pour témoigner d’un monde s’éloignant dans la perte : terrestrement habite l’homme dans la poésie.
Né en 1971 à Paris, Grégory Chatonsky est un artiste franco-canadien. Il réalise des objets entre matérialité et numérique et a exposé au Palais de Tokyo, au Centre Pompidou, au Jeu de Paume, au MOCA Taipei ou encore au Hubei Wuhan Museum. Il travaille sur le Web et principalement sur son affectivité le menant à questionner l’identité et les nouvelles narrations qui émergent du réseau. Dans le contexte d’une extinction de l’espèce humaine, le réseau apparaît comme une tentative pour créer un monument par anticipation qui continuerait après notre propre disparition.