ROSES BLEUES (LES) DE RAVENSBRÜCK

Jeanine Baude



Éditeur :La rumeur libre


Livre

Langue d'origine :Français

Format :14,1 x 19,2 cm

Nombre de pages :80

Date de parution :01/04/2021

ISBN :978-2-35577-202-3

Prix :15,00 €

Argumentaire :

Recueil de poèmes sur les femmes / Tuées, Trouées, Clouées, Battues, Violées / par les nazis, dans le camp de concentration de Ravensbrück. Ce livre est un cri de femme pour les femmes, un chant déployé depuis les entrailles de la poète, pour dire toutes les femmes martyres du présent et de l'histoire, sans oubli, ni pardon.

Jeanine Baude soulève la voix des femmes abattues. Avec la musicalité incisive de sa poésie, elle noue un dialogue avec les femmes martyrisées dans l'univers concentrationnaire nazi. Paroles de sel / de terre et de mer / de boue et de sable / pour approvisionner le présent de ses tourments d’exil

Recueil de poèmes sur les femmes / Tuées, Trouées, Clouées, Battues, Violées / par les nazis, dans le camp de concentration de Ravensbrück. Poèmes à la mémoire / De ces femmes / dont le désir fut si fort qu’il soulevait la mort / comme se lève une voile de navire / comme on prend la mer /.

Biographie ou Bibliographie de l'auteur :

Jeanine Baude est née dans les Alpilles. Aujourd’hui, elle vit à Paris. De son enfance provençale, elle a gardé l’amour des collines et des roches majeures : la crête des Opies, la Sainte-Victoire, l’île Maïre et l’empreinte d’un soleil camusien. Son jeu favori : la lecture. De son adolescence et de ses études littéraires, une mise en mots naissante, une découverte : la littérature comparée. À l’âge adulte, elle a largement ouvert le champ depuis les contraintes d’une vie professionnelle assumées, de l’éblouissement de la maternité vers un approfondissement de sa recherche d’écriture, un métissage de valeurs et de luttes sociales profondes, un militantisme. D’où le goût du partage en littérature et d’une ouverture au monde de plus en plus exigeante qui l’ont conduite de Buenos Aires à New York, de son ancrage sur l’île d’Ouessant à Venise, de Bratislava jusqu’aux territoires des Indiens Hopis et Navajos : Sfuggita, passante.