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Embouchure (L') de la Maye dans les vagues de la mer du Nord

Jacques Darras


Éditeur :Le Castor Astral


Livre

Langue d'origine :Français

Format :14,0 x 25,0 cm

Nombre de pages :256

Date de parution :05/16/2018

ISBN :979-10-278-0168-8

Prix :17,00 €

Argumentaire :

La fréquentation du Théâtre du Globe, cher à Shakespeare, tout comme plusieurs voyages effectués dans le Yorkshire ou aux Hébrides, ces îles écossaises du grand large, inspirent ces textes de méditation et de respiration maritime

Comment lire Shakespeare aujourd’hui ? Confrontant deux versions des Sonnets, traduites par lui à des époques différentes, Jacques Darras invite simultanément les figures célèbres de Macbeth, Lear, Hamlet, Shylock etc. à se réincarner dans le monde contemporain.

Ce troisième volume de La Maye propose au lecteur une navigation d’île en île, de poème en poème. Passer d’un poème à l’autre, peut se faire dans le désordre, au gré du vent des pages. C’est liberté totale pour le lecteur qui forge à sa guise sa propre continuité de lecture.

Biographie ou Bibliographie de l'auteur :

Né sur les côtes de la Manche à proximité de la Flandre, face à l’Angleterre, Jacques DARRAS a inauguré une carrière de poète, traducteur et essayiste avec Le Génie du Nord (essai, Grasset, 1988), une retraduction de Sous le volcan de Malcolm Lowry (Grasset, 1985) commandée par Maurice Nadeau, et le tome I d’un long poème en huit chants, La Maye I, (In’hui/Trois Cailloux, Amiens,1988) consacré à sa rivière natale du Ponthieu/Marquenterre. Tout en enseignant la poésie anglo-américaine à l’Université de Picardie, il fonde la revue In’hui (1978) devenue entre-temps Inuits dans la Jungle (Le Castor Astral), cependant qu’il donne des traductions de
Walt Whitman, S.T. Coleridge, William Blake et Ted Hughes
(Gallimard), ainsi que d’Ezra Pound (Flammarion). Au moment
d’achever les huit volumes de La Maye (dont les volumes 5 et 6 sont parus chez Gallimard, L’Arbalète), le poète entame une séquence de poèmes brefs ou « Oiseuses », inspirés par la rivière Oise, trait d’union liquide entre Paris et la Belgique, et faisant écho aux Oiseuses du poète Philippe de Beaumanoir au XIIIe siècle. Jacques Darras a reçu le prix Guillaume Apollinaire et le Grand Prix de poésie de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre.

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