Michaël Glück
Michaël Glück, né le 10 juin 1946 ; écrit et écrit et plus encore lit vit, persiste et signe quelques titres : Le Chant du bouc (Atelier des Grames) ; Vint le grand récit (le Réalgar) ; Le Présent est le temps du poème (Potentille) ; Point de suspension (L’Amourier) avec Olivia Elias ; Appelez-moi Fougère (éditions Tipaza, peintures de Robert Lobet) ; Mensch (éditions Faï fioc) ; Tenir debout dans le grand silence (La passe du vent) ; Errances célestes (2Rives, Les Lieux Dits. Peintures de Joseph Bey) ; …Commence une phrase (Lanskine) ; Dans la suite des jours (L’Amourier) ; Ciel déchiré, après la pluie (L’Amourier) ; Sur l’aube d’un ciel taché d’encre (Propos2 éditions) ; Nuova prova d’orchestra (Les Carnets du Dessert de Lune) ; Exil/Exit Bérénice (Lanskine) ; Oranges (éd. Espaces 34) ; Cette chose-là, ma mère (Jacques Brémond).