Gérard Gaillaguet

Gérard Gaillaguet. Photo Marie Olivier

Gérard Gaillaguet est activiste du verbe, diseur autant qu’auteur. Touche-à-tout de l’écriture – et souvent de l’écriture conviviale – il a notamment travaillé à l’écriture de pièces de théâtre en prise directe avec des comédiens, animé durant seize ans des rencontres hebdomadaires entre paroliers, compositeurs et interprètes de chansons, clamé ses textes sur des scènes partagées et même bouclé à 70 ans son premier roman ironique et faussement autobiographique, Ils ont failli me rendre parano.
Après plusieurs publications mordantes en rouge et noir aux éditions Librécrit (discotextes, nouvelles, et Le Roman susdit), c’est chez Wallâda qu’il a eu le plaisir de voir enfin paraître son poème en prose Les Obstinés, manifeste épique, politico-lyrique, contre le goût du malheur, réalisé conformément à son projet de jeunesse à égalité de pages avec la plasticienne Colette Klein.
« Gégé s’obstine ! Il nous bouleverse, il nous bouscule, il nous embarque. Et, en savourant les derniers mots de ces quelques pages, on ne peut que dire avec lui : « Il serait temps que le printemps demeure. » (Préface du prestigieux parolier Claude Lemesle).

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Gérard Gaillaguet au 39e Marché…